Trois députées au Parlement européen sur le campus de Nice

Alors que nous entrons dans la seconde moitié de la législature 2019-2024 du Parlement européen, l’IPAG et ses partenaires (La Maison de l’Europe Côte d’Azur-Var, Le Mouvement Européen des Alpes Maritimes et Nice Matin) ont accueilli trois élues aux parcours différents, et aux convictions parfois divergentes, à une conférence-débat organisée dans les locaux de l’école.

Les trois parlementaires présentes

Toutes les sensibilités politiques françaises représentées à Strasbourg, le siège officiel du Parlement, ont été conviées à s’exprimer lors de la conférence du vendredi 11 mars. Ont répondu présentes :

• Sylvie Guillaume, membre du groupe Alliance Progressiste des Socialistes et Démocrates au Parlement européen, membre du Parti Socialiste ;
• Marie-Pierre Vedrenne, membre du groupe Renew Europe Group au Parlement européen, membre du Mouvement Démocrate ;
• Joëlle Mélin, membre du groupe Identité et démocratie au Parlement européen, membre du Rassemblement National.

Bilan, perspectives, Présidence française et guerre en Ukraine

Modérés par Christian Huault, Rédacteur en chef du groupe Nice Matin, les débats ont permis aux députées de dresser leur bilan de mi-mandat, de parler de leurs projets pour les deux années à venir, des enjeux de la Présidence française du Conseil de l’Union européenne et d’évoquer, bien évidemment, la guerre en Ukraine et le rôle que peut jouer l’UE dans la résolution du conflit. 

Échanges démocratiques et rencontres entre étudiants

Un peu plus de cent personnes ont participé à cette soirée clôturée par un cocktail, des discussions et des débats plus informels entre les parlementaires, les partenaires et l’assistance. Pour André Boyer, Directeur du campus de Nice, l’IPAG joue pleinement son rôle en « permettant à ces espaces d’échanges d’exister ». Un des indicateurs de succès de cette soirée ? La diversité du public présent. « Avec nos partenaires, nous avons réussi l’un de nos paris en réunissant des personnes de tout âge et de tous horizons. Nos étudiants ont également pu rencontrer leurs homologues de l’Université de Nice ou du campus de Sciences Po de Menton » conclut André Boyer.